Voilà, c'est plié.
La sixième saison de mon real-musical-feuilleton préféré se referme après nous avoir livré son épilogue prévisible, si j'en crois les commentaires de la presse et de la blog-buzz avisées que je ne découvre qu'aujourd'hui, blottie que j'étais dans une des micro-bulles de mon Benjéroboam de jazz.
C'est Amandine qui l'emporte, à l'issue d'une finale médiocre de part et d'autre, une espèce de brouillamini ambiance répét, pas très en place, assez peu créatif, et cette vague impression d'un retour en arrière époque Jonathan Cerrada/Myriam Abel, que Steeve Estatof avait osé le premier osé chahuter, initiateur d'un truc un peu alternatif qui aura enfanté dans l'enthousiasme général un Christophe Willem et bien sûr un Julien Doré.
Autant dire que cette édition ne laissera pas de souvenirs impérissables, apparemment mes chroniques non plus (avouez quand même que je me suis bien accrochée).
Je ne m'épancherai donc pas plus longuement sur cette dernière joute musicale, m'autorisant juste une petite embardée affective et très à contre-courant (si j'en lis toujours "les commentaires de la presse et de la blog-buzz avisées" sus-nommées), en élisant mes deux nouvelles stars de coeur parmi les autres protagonistes, en les personnes de Virginie Efira, dont l'élégance et l'intelligence matinées d'humour discret manqueront au programme s'il survit, et de la sincère et pétulante Lio dont j'ai partagé la plupart des vues et des propos durant toutes ces semaines.
Bon, c'est pas le tout, l'heure de ma retraite corse - petit rituel annuel - a sonné. Je m'en vais donc vous envoyer quelques bécots et vous dire à bientôt.
Bien à vous,
Jeu de briques
Snake
Pacman
Bubble