Magazine Journal intime

Dans lequel il est question de repas à l’hôpital

Publié le 23 juin 2008 par Mao

Après promis, on parle d’autre chose.
Mais je viens de passer 2 jours et demi dans une chambre, avec pour seule lattitude de mouvement les 4 mètres de fil qui me reliait à une perfusion, avec rien à faire de spécial. À part pipi. Souvent et beaucoup. Dans un bidon gradué. Alors je suis un peu traumatisée.

La principale attraction de ces journées, ce furent donc les repas.

Analyse.

Alors le premier soir, j’ai eu ça1:

C’est une salade de haricots verts. Avec des noix.
Tu fais des Ah! des Oh! jamais ne me lasse mais je vais te calmer tout de suite : c’était pas bon. Quelque part entre le moyen et le franchement dégueu. Le haricot vert d’hôpital chaud c’est déjà fadasse; mais alors froid c’est carrément infect. d’autant qu’ils m’ont collés au régime sans sels ni sucre. Heureusement, en dessert y avait des abricots très très froids. En fermant les yeux je me serai crue à Louxor2

Le midi suivant c’était paella.

Tu te poses la même question que moi: mais où qu’elles sont les moules ? Cherche pas, y en a pas. Ca doit pas être assez “safe” comme aliment.

Pour continuer dans la perplexitude, il y avait aussi incohérence au niveau de la présence de sel dans la vinaigrette de la salade de tomate. En images:

Le soir, on a touché au sublime. Y a même pas de photo tellement c’était infect. J’ai mangé que la pêche glacée. Et mes cookies LP.

La prochaine fois, j’emmène des pommes, des poires… même les scoubidous ça doit être meilleur.

  1. J’avais aussi embarqué l’APN. Et des cookies LP. J’ai merdé sur la carte 3G mais pour le reste, au dépourvu on ne m’aura pas prise.
  2. Les fruits gelés c’est ce qui m’a marqué à Louxor. La vallée des rois aussi, je te rassure. Ou pas. J’y étais en 199… ahem.. et  dans les hôtels à touristes, pour êtres sûrs que leurs fruits ne pourriraient pas ils les conservaient au frigo

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