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De la propagande à l’imposture… #6

Publié le 09 mai 2019 par Observatoiredumensonge

L'Islam, dès le VIIe siècle, a pris rang parmi les esprits phallocrates, discriminatoires et violents... Chapitre 6.

De la propagande à l’imposture… #6De la propagande à l'imposture...

L'imposture cérébrale et historiographique de l'Islam. Les mystifications concordistes.

Par Daniel Desurvire

Chapitre 6

Hormis cette pratique propre aux fondamentalistes musulmans de nier les réalités, ce livre, dit de religion, s'écarte de toute morale attachée à un culte convenable, qui normalement instruit la concorde et l'amour dans ses chapitres hiératiques. En effet, depuis l'ère chrétienne, les confessions naissantes ont peu à peu abandonné les comportements cruels et sexistes qui présidaient dans les sociétés claniques d'antan, alors que l'Islam, dès le VIIe siècle, a pris rang parmi les esprits phallocrates, discriminatoires et violents. Autrement dit, ce démiurge qui répond au nom d'Allah, dépourvu d'humanité, affabulateur, vidé de toute émotion, de compassion, rancunier et martial, aura néanmoins réussi la prouesse de remonter les époques, pour se fondre dans les pires cauchemars des civilisations barbares qui jadis semaient la terreur, la misère, la désolation et la mort après leur passage.
D'ailleurs, quel autre culte se permettrait aujourd'hui de troquer la tolérance et l'amour contre une aversion spontanée et clairement indiquée envers les autres croyances, de mépriser la vie et la préférer le trépas dans un combat au service d'un panislamisme ethnocidaire, cela à dessein d'éradiquer l'impur et mériter le ciel, et pour quel paradis* ? Quel culte rabaisserait avec autant de mépris la condition féminine en usant de la polygynie et d'une servitude esclavagiste, sachant que la Musulmane de vaut que la moitié d'un Musulman selon le Coran (II.228, IV.12 et 38, etc.) ? Puis au final, quelle divinité vouerait à ses génuflecteurs, en récompense d'une existence de djihâdiste exterminateur, une vie posthume dévoyée, consistant à forniquer avec 72 houris qui leur sont offertes à chacun dans les jardins d'Allah* en récompense des meurtres perpétrés sur des kuffār ? Ces esclaves sexuelles créées pour être déflorées par des mâles excités par la virginité prépubère, sont à l'image de Aïcha, cette enfant de 9 ans que le Prophète épousa et viola à l'âge de 11 ans.
Tout ce que peut exposer l'Islam par le Coran, outre sa brutalité et son intransigeance, n'a rien d'unique ou d'inimitable, ainsi que le clament les exégètes en keffieh et babouches, lequel Livre a plagié la Bible et l'Évangile très postérieurs à leur culte. Ce Remak littéraire fut l'œuvre compilée de copistes malhabiles et peu avisés au plan historiographique, mais aussi en regard de la syntaxe d'une langue arabe encore balbutiante. Eu égard aux imperfections chronologiques et stylistiques du Coran, il est sûr que les transcriptions reproduites des idiomes arabes régionaux contribuèrent à cette gabegie du plus mauvais goût. Or, pour masquer ces égarements amphigouriques, anaphores, litotes et pléonasmes, l'Islam recourt à un expédient : des paraboles intraduisibles !
En clair, ce pillage ou copiage désordonné et imprécis du contenu liturgique des rouleaux de parchemin ou d'os de chameau gravé réemployés auprès des différents cultes préexistants, donna naissance à ce patchwork coranique tricoté de sourates sans liens, ni logique ni chronologie. Ce Livre d'une grande confusion entre dates et personnages mentionnés, d'une exégétique filandreuse et redondante, puis d'une immoralité abjecte avec ses menaces apocalyptiques, deviendra l'un des ouvrages les plus lus au monde. Dans ce fouillis inextricable, des exégètes (Abou Bakr, Uthman...) prétendirent s'y retrouver dans ce défrichage d'āyāt (révélations) qui ne peut qu'être allégorique pour expliquer l'inexplicable, justifier l'insuffisance. Au plus fort de la mauvaise foi, l'Oumma laisse entendre que seuls les arabes initiés peuvent y comprendre quelque chose. A contrario, l'arabe demeure une langue parfaitement traduisible.
Comme il a été inventorié au fil des traductions, le Coran n'est qu'un pastiche, la contre-épreuve des Livres deutérocanoniques de l'Ancien Testament, puis un imbroglio d'invraisemblances, d'enchevêtrements entre protagonistes de la Bible avec d'autres personnages postérieurs à celle-ci. Au-delà de ces plagiats controuvés, d'illogismes ineptes sans cohésion ni vraisemblance chronologique quant à l'onomastique, la construction littéraire des sourates est tant désordonnée, dépourvue de lien structurel, dénuée d'une linguistique cohérente ou d'esprit acceptable, qu'il est peu plausible, pour un philologue, d'excuser la médiocrité d'un tel ouvrage en y justifiant un côté mystique autour de métaphores absconses. Seule caractéristique propre au Coran, fut d'avoir, pour ses scribes, réussi la prouesse d'extraire tous les germes du mal, une eschatologie que pouvaient enfermer ces œuvres antédiluviennes pour les concentrer dans ce nouveau culte qui en aura exclu toute trace d'affect ; soit dit de tolérance, de compassion et d'amour. Lorsque Daesh affirme pratiquer le " vrai Islam ", nul doute que cet ordre khalifien dit vrai !
Autre coïncidence révélatrice, la glose lexicale comme le syntagme sémantique des écritures islamiques apparaissent telle une duplication du christianisme, bien que personne n'y voit un quelque lien œcuménique. Hormis le Coran qui reprend, pour l'essentiel, les personnages de la Bible et un peu du Nouveau Testament, les hadîths semblent étrangement avoir la même vocation que l'Évangile qui transmet l'histoire du Christ. Ainsi, le Prophète serait une sorte de Messie drapé de certains attributs de Jésus de Nazareth. Mais ses paroles s'inscrivent hors de l'idiome d'une vraie religion, dans une tradition rapportée (Sunnah). Parmi les compagnons de Muhammad, qui étaient paraît-il au nombre de cinquante mille, neuf seulement furent prophétiquement ceux qui étaient reconnus comme élevés, authentiques et honorables (ou plutôt qui savaient lire et écrire).
À suivre

Ancien directeur du Centre d'Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire.
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Daniel Desurvire pour Observatoire du MENSONGE

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De la propagande à l’imposture… #6

L'Union européenne pense que le conflit entre Israël et les Arabes est un différend entre voisins.

De la propagande à l’imposture… #6

De ce faux postulat , une propagande fanatique s'est développée accréditant qu'Israël serait l'agresseur et les Arabes les victimes...Le choix des mots n'a jamais été anodin : Israël est le méchant qui utilise une force militaire " disproportionnée " contre les Arabes, devenus des " réfugiés " (ce qui historiquement est un non sens).
L'utilisation par l'Occident de cette propagande typiquement islamique accusant Israël d'être colonisateur et la tromperie qui en découle masquent totalement la réalité locale que Daniel Desurvire exhume dans cette étude magistrale et documentée qui fera date ou comment une propagande intensive peut travestir et camoufler la réalité.L
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