Assisté, ce vendredi 3 mars dernier à l’Auditorium de l’opéra de Bordeaux, au concert du talentueux pianiste Alexandre Kantorow dans, notamment, l’ardente sonate n°1 de Brahms. Ambiance feutrée entre gens de bon aloi, téléphones portables éteints, commentaires, même à voix basse, évités et raclements de gorge retenus. Mais je n’ai toujours pas compris pourquoi il fut aussi applaudi avant même de s’être assis devant son piano et d’avoir joué la première note. Était-ce pour l’encourager ?