Ich vermisse dich, liebe Berlin.

Berghain Club

“Am Mittwoch, soll ich nicht mehr ausgehen !”

Ah, les lendemains de soirée bien difficiles, les gueules de bois comme on les aimes. C’est toujours la même chose, on se réveille le matin avec la tête qui tourne, d’horribles relents d’alcool et parfois une connaissance au pied de son lit, étalée sur un vieux sac de couchage. Merveilles que sont les soirées étudiantes, il faut toujours que vous finnissiez à l’envers.

Berghain Club / Panorama Bar, Berlin, un des clubs les plus célèbres de la ville, si bien pour l'ambiance que pour son videur ...

C’est seulement après un bon petit déjeuner que les souvenirs vous reviennent, sous forme de flashs. Et là vous vous demandez pourquoi avoir fait ca. Pour prendre un exemple simple, prenons mon exemple. Hier je suis rentré chez moi à pied. Je ne sait pas si certains d’entre vous connaissent Bordeaux, mais j’ai tout de même entrepris de remonter tout les quais, de la gare St Jean, jusqu’aux quais de Bacalan. Autant dire que cela fait une sacrée trotte. Et bien évidemment, ce matin je me suis demandé pourquoi je n’avais pas attendu le premier tram de 5h du matin. Probalemment parce que je n’en ai pas l’habitude. C’est alors que j’ai réalisé à quel point Berlin pouvais me manquer. Tout est comme milles fois mieux là bas, incomparable. Les boites sont bien plus sympathiques, et surtout bien moins chères, les gens plus conviviaux et les transports en commun sont à votre service en permanance, excepté le petit trou entre 3h et 4h du matin. En bref que du bohneur. Surtout qu’en tant que véritable Berlinois, pour ma part je ne me suis jamais vais rejeté des clubs les plus “UP” de la ville, ce qui malheuresement a tendance à très souvent arriver aux touristes, surtout francais, qui n’ont toujours pas saisi que le “dress code” allemand, ne pronais pas vraiment la “fashion attitude”. Mais si je suis là bas, parmis les listes “VIP”, ce n’est pas le cas ici et les soirées n’en deviennent que moins fun. Qui dit soirées moins fun, dit aussi plus d’alcool et un état qulifiable de pitoyable le lendemain matin, un garcon dans mon lit, une fille au pied de celui-ci. Un plat de pâtes en guise de petit dej’ et chacun rentre chez soi, sans qu’un seul mot ne soit échangé. On en reparleras, ou pas, lorsqu’on s’en rappelera.