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Au temps du règne de l'invincible armada des Googlebots, mystique du PageRank

Publié le 04 mai 2019 par Dcmky


M'étant aperçu hier que Google ne référençait toujours pas le Journal de Doctus Monkey, j'ai décidé de me lancer dans une opération de grande envergure - n'ayons pas peur des mots! - visant à améliorer la visibilité de mon site.

J'ai d'abord essayé de régler le problème ' Google' proprement dit - mais on y reviendra - puis je suis passé au référencement via les annuaires de blog. Désormais le Journal de Doctus monkey est référencé chez paperblog:

https://www.paperblog.fr/8901803/le-journal-de-doctus-monkey/

et chez boosterblog:

http://www.boosterblog.com/

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Reste à développer d'autres stratégie:, j'ai pour objectif de développer la présence de mon site via Facebook et Twitter, mais aussi d'utiliser des sites plus spécialisés comme :

https://www.babelio.com/

https://www.senscritique.com/

https://www.livraddict.com/

http://jeunesecrivains.superforum.fr/

A voir si j'aurai le temps et le courage...


Mais revenons à Google... voyons comment fonctionne le référencement.

En premier lieu, interviennent les robots de Google: ils sont des milliers à arpenter la toile comme ils racleraient le fond des mers, ramassant tout ce qu'ils trouvent sur leur passage, c'est la phase de crawling, ou collecte de données.

Quand un Googlebot tombe sur un site, il en parcourt entièrement l'arborescence - ce qui peut le conduire à visiter une myriade d'autres sites pour peu que le site de départ pointe lui-même dans d'autres directions.

Vient ensuite la phase numéro 2 durant laquelle on remonte le poisson sur le pont: tout ce que les Googlebots ont dragué dans leurs filets au cours de leur travail de ratissage du fond des océans du web est maintenant indexé sur les disques durs de Google.
Chaque retour au port de l'immense armada de ces milliers de chalutiers vient ainsi enrichir l'index Google, image censée être exhaustive de tout ce qui existe à l'instant t sur le web.
Et c'est vraiment la pêche miraculeuse puisqu'on estime que le moteur indexe plusieurs milliards de pages chaque jour.

Il reste maintenant dans une troisième étape à classer, à ordonner, à hiérarchiser, de manière à ce qu'à chaque requête, Google puisse fournir aussi vite que possible des réponses aussi pertinentes que possibles.
Pour cela, Google fait passer la totalité des poissons pêchés à travers les filtres de son célèbre algorithme de Pagerank, dont le principe - très simplifié - consiste, en visualisant le web comme un immense graphe orienté dont les sommets sont les pages et les arêtes les liens pointant d'une page vers l'autre, à attribuer à chaque page une valeur proportionnelle au nombre de fois où l'on passerait par cette page au cours d'un parcours aléatoire du réseau; ainsi une page donnée possèdera un PageRank d'autant plus élevé que sera grand le nombre de pages qui pointent vers elle.
En d'autres termes, PageRank traque la page internet parfaite, celle dont tout le monde parle, celle vers laquelle tout le monde renvoie. Le centre du graphe. Le discours absolu et total.

Pagerank cherche les vraies paroles, vers lesquelles toujours on revient et qui s'avèrent suffisantes.

Pagerank cherche les nouvelles tables de la loi.

Il faudra revenir sur le sujet - et notamment parler de l'extraction, de la gestion et de l'association des mots clés... Ce sera pour une prochaine fois. D'ici là, j'espère - très prosaïquement - réussir à faire augmenter un peu le trafic dans ces parages, en apprenant peu à peu à caresser dans le sens du poil les Googlebot et tous les algorithmes afférents.

Au temps du règne de l'invincible armada des Googlebots, mystique du PageRank


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